La Jupe Plissée







# OU COMMENT EVITER LE LOOK COLLÈGE ANGLAIS




La jupe plissée, j'en garde un souvenir particulier, celui de la revêtir le dimanche matin avant les déjeuners familiaux. En me regardant dans la glace, j'y voyais une collégienne Londonnienne arborant l'uniforme, il ne me manquait que les couettes. 

Désormais, la jupe se dévergonde, aérienne, asymétrique, colorée, en cuir, transparente ou encore courte et bouffante, il n'y a plus de limites pour la styliser d'un rien. 





Elle se porte de façon bohème le jour, et sophistiquée, dans une matière précieuse le soir. On peut la ceinturer, pour mettre en valeur une taille fine, la choisir un peu longue, qui flirte les chevilles, pour cacher des mollets "sportifs", ou plus courte pour élancer la silhouette.

On mise sur des tops féminins qui dégage les épaules, à blouser - toujours pour sublimer la taille. Et pour parfaire l'ensemble, hop un joli sautoir, des bagues, travaillées toute en finesse et une paire de sandales mi-saison en cuir ajouré.


















Pour le soir, optons pour une jupe dans dans un ton glitter - pour ma part, j'adore les coloris argentés, qui arrivent aux mollets. On enfile un pull en maille qui dévoile une épaule, une maxi pochette, une paire de compensées pour danser toute la nuit, et son perfecto patiné - ou à défaut, une veste en jean entrouverte.


On oublie définitivement le cliché de la BCBG, on peut garder ses mocassins à glands, pour un look, "je sors de la sorbonne", mais on range le blazer et le col claudine.






 

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“L’agence Poulain & Proust crée en 1999, gère tous les programmes et stratégies dans les domaines des relations publiques, de l’événementiel, de la production et du consulting. 15 ans d’expérience dans la publicité m’ont donné une vision globale de la communication, que l’agence aujourd’hui appréhende avec ses clients, par du conseil sur mesure et un rapport privilégié. De la Mode à la Déco une évidence, une curiosité partagée, la passion de communiquer un “art de vivre” propre à nos envies au quotidien...” Marie-Aude Poulain

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